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heureusement que c'est découvert à tant
bon week-end. http://madelei nedenormandie. centerblog.net
Par madeleinedenormand, le 05.09.2025
je voudrais le num"ro de potable de bayrou
Par Anonyme, le 26.08.2025
qu'entend t'on exactement "par logements sociaux " (par exemple :pavillons groupés en zone h l m ?ou quel autr
Par Anonyme, le 30.06.2025
on en demande d'autres dans le lot ?
Par Anonyme, le 08.06.2025
et la correze ?
Par Anonyme, le 08.06.2025
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Date de création : 27.10.2009
Dernière mise à jour :
08.09.2025
51258 articles
Vous avez été nombreux a dire , il faut que soit étanche , certain secteur sont envahie , une solution
il faut mettre le tuyau collecteur assez haut pour son demontage avoir de la souplesse.
Six artisans sur dix évoquent une situation meilleure que l'an passé et 52% se déclarent optimistes, mais la nouvelle incertitude politique leur fait "faire le dos rond", a indiqué mardi 2 septembre le président de CMA France, établissement public national fédérateur du réseau des chambres de métiers et de l'artisanat (CMA).
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Par Dragan Perovic
Publié le 02 septembre 2025 à 05h05 •
Vêtu d’un long bermuda, il nous montre sa terrasse désertée qui donne sur le mur du cimetière Thiers. En quelques instants, ses mollets sont déjà assaillis par une dizaine de moustiques tigres. Dans ces conditions, Daniel, a du mal à rester philosophe. « Les moustiques, je ne crois pas qu’ils naissent chez moi. Parce que tous les points d’eau sont fermés, le bas des gouttières bouché, je n’ai d’eau stagnante nulle part. Sur ma cuve de récupération des eaux de pluie, j’ai mis un filet, aucun moustique ne peut y rentrer. »
Heureusement, le retraité a un autre point de chute : « On a une maison à la campagne. Le week-end, on s’en va pour souffler un peu. Parce qu’ici, je paye des impôts locaux et finalement, je ne profite pas de grand-chose. »
ARTICLE LA MONTAGNE https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/actualites/ma-voisine-jardine-en-tenue-de-cosmonaute-dans-ce-quartier-de-brive-le-difficile-combat-contre-le-moustique-tigre_14741816/
C'est une bonne initiative à l'heure où le changement climatique s'intensifie et où l'eau devient une ressource de plus en plus rare. À Limoges, la régie régionale des transports de la Haute-Vienne a créé une station de lavage pour ses autocars qui fonctionne avec de l'eau de pluie. Pourtant, la mise en place de ce système n'a pas été si simple. On vous explique.
À Limoges, la station de lavage des autocars de la régie régionale des transports de la Haute-Vienne fonctionne désormais grâce à l’eau de pluie. Fini le gaspillage d’eau potable pour nettoyer les 250 véhicules qui sillonnent le département.
"L'eau du ciel arrive dans nos gouttières, on récupère par les chéneaux, sur deux pans de toiture, l'eau qui va arriver dans une cuve qui fait 30 000 litres environ ", explique Denis Royer, responsable maintenance et travaux à la régie régionale des transports de la Haute-Vienne.
La bonne idée anti-gaspi
Cet investissement a été souhaité par la régie régionale des transports de la Haute-Vienne dans le cadre d'une démarche qualité environnement. L’idée : exploiter les milliers de mètres carrés de toiture pour créer un système de lavage et de rinçage autonome. Mais le défi était de taille, car tout restait à inventer.
"Le challenge était déjà qu'il n'y ait plus d'eau partout, qu'il n'y ait plus de terre partout dissimulée dans le bâtiment. Il fallait qu'on récupère les eaux à 100 %, les traiter et les réinjecter dans le circuit",détaille Ludovic Bouard, gérant de l'entreprise Gebo TP.
L'eau est traitée et recycléeOn a créé cette installation de lavage suspendu qui était unique en France aujourd’hui, car tout ce qui a été fait ici a été fait sur mesure. Ça n'a jamais été fait, on n'a aucun bureau d'étude qui a voulu nous suivre.
Ludovic BouardGérant l'une société de travaux, Gebo TP
Le résultat est à la hauteur des attentes : le système des filtres et de cuves de décantation est enterré. Les graisses, huiles et autres polluants sont traités avant de se retrouver dans une autre citerne où l’eau est recyclée après une désinfection à l’ozone.
"Ce système-là nous supprime tout traitement chimique d'intrant, de javel, tout ce que l'on veut ajouter dans l'eau pour qu'elle ne pourrisse pas, pour pas qu'elle ne soit impropre ou qu'elle sente les odeurs", ajoute Denis Royer.
Ce système innovant est salué et encouragé par une association limougeaude de préservation des ressources en eau qui voit en ce procédé un véritable modèle vertueux. Cependant, si les particuliers récupèrent, eux aussi, l'eau de pluie pour leurs usages, les risques sanitaires ne sont pas sans conséquence : "Dans la station de lavage de la régie, ils sont contrôlés par les services d'assainissement, c'est encadré, on sait que le suivi sera fait. Le particulier, c'est un vrai risque, il y a des gens qui vont respecter bien sûr, mais c'est un risque de pollution des réseaux", souligne Dominique Pontet, président de l'association "Préservons nos ressources en eau".
Cette récupération d'eau pluviale pourrait aussi représenter une déstabilisation financière et environnementale. "C'est un risque économique pour le producteur d'eau potable, pour l'assainisseur, un risque environnemental puisque les sols ont besoin d'eau, donc si on dérive cette eau, ça pose un problème", complète-t-il.
Remplacer tout le système paraît donc compliqué, mais d'autres solutions sont envisageables : "En termes d'économie, bien sûr que c'est gênant de mettre de l'eau potable dans les WC, c'est une évidence, c'est un non-sens absolu, c'est un non-respect pour des populations. Pour autant, il existe des alternatives, par exemple de réutiliser plusieurs fois des eaux potables qui ont été utilisées pour se laver les mains qui sont faiblement polluées ou les eaux de salades ", expose Dominique Pontet.
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/limoges/un-systeme-unique-en-france-fini-l-eau-potable-cette-station-de-lavage-utile-l-eau-de-pluie-pour-laver-ses-bus-3207983.html
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la pluie n'est pas toujours pas là en quantité
Depuis la mi-août, l'ambroisie libère son pollen en Aquitaine. Ce dernier, hautement allergisant, provoque des symptômes similaires aux réactions contre les graminées. Considérée comme un nuisible, cette plante est aussi un fléau pour l'agriculture, où sa prolifération pose des problématiques de rendements.
Les yeux qui piquent, la gorge qui gratte, le nez qui coule... Ces symptômes rappellent les sombres heures de la pandémie de Covid-19. Mais là, il n'est pas question de virus. Le coupable, dans cette affaire, est bien plus gros. Plus précisément, la taille d'un pollen.
Ce grain de pollen est émis par une plante d'un fort joli nom, l'ambroisie. Mais elle n'a pas grand-chose en commun avec ce nectar dont se délectaient les dieux de l'Olympe. Le végétal est dans le collimateur des Fédérations régionales de lutte et de défense contre les organismes nuisibles (Fredon) car, selon Marien Lesourd, employé de la structure, "elle pose des problèmes de santé très graves".
Un "potentiel allergique parmi les plus forts"Native d'Amérique du Nord, l'ambroisie prolifère depuis les années 80 dans notre vieille Europe. Sur les trois déclinaisons observées jusque-là dans l'Hexagone, deux prospèrent en Aquitaine. La plus fréquente est l'ambroisie à feuilles d'armoise. Entre le 15 août et le 15 septembre, pour que perdure son existence, elle libère tout son pollen au "potentiel allergique parmi les plus forts".
Selon l'expert, les symptômes d'une réaction allergique au pollen de l'ambroisie sont "d'une intensité comparable à ceux provoqués par les graminées". Soit, provoquer, au mieux, un "rhume des foins", au pire, "provoquer ou aggraver de l'asthme".
Par ailleurs, les statistiques démontrent qu'il est beaucoup plus probable de développer une allergie au pollen de l'ambroisie qu'aux graminées. En région Rhône-Alpes, l'une des zones les plus touchées par le développement de l'ambroisie, près de 10 % de la population a ainsi développé une sensibilité à son pollen.
L'histoire de l'arrivée de cette plante du Nouveau Monde, est à lier à deux crises majeures du siècle dernier. Au lendemain des deux guerres mondiales, des livraisons de fourrages en provenance des États-Unis, charrient quelques graines d'ambroisie, offrant à la plante la possibilité de faire un pied de nez aux descendants des conquistadoreset autres colons.
Si par elle-même "l'ambroisie ne se répand pas rapidement", la graine tombant généralement à proximité de la plante bénéficie d'un autre vecteur : l'être humain. Dans le département de la Corrèze, la présence de l'ambroisie suit un axe sud-ouest, nord-est correspondant presque parfaitement au tracé de l'autoroute A89.
Cette carte pointe également trois zones géographiques particulièrement touchées, en Aquitaine, par la présence de cet organisme nuisible. Il s'agit de zones de grandes cultures, où sont principalement cultivés maïs et tournesol. Selon Marien Lesourd, "l'ambroisie préfère largement les milieux anthropisés aux naturels". "Dans les sous-bois, elle se fait concurrencer par les autres espèces. Elle a besoin d'un contact direct au soleil", expose l'expert.
Dans les milieux anthropisés, à chaque renouvellement de culture, il y a une remise à nu de la terre. Dans ces contextes, l'ambroisie est l'une des premières plantes à pousser.
Marien LesourdChargé d'études environnement à Fredon
Par ailleurs, l'activité agricole lui "offre de très bonnes conditions" pour proliférer. Les véhicules agricoles, en particulier, jouent les principaux vecteurs. "La moissonneuse-batteuse, quand elle est en route, peut projeter les graines de l'ambroisie un peu partout, illustre Marien Lesourd. Une dizaine de pieds d'ambroisies suffit à disséminer plus de 10 000 graines".
Des contraintes notables contre l'agricultureL'envahissement de champs cultivés par l'ambroisie peut ainsi occasionner des pertes de rendement à plusieurs niveaux. D'abord, d'un point de vue spatial, en occupant jusqu'à "un quart de la surface du champ". Autrement, cela se manifeste en polluant la nourriture végétale destinée aux animaux. En 2015, l'Europe s'est ainsi vue dans l'obligation de légiférer, interdisant des stocks présentant une concentration de 50 grammes de graines d'ambroisie par kilogramme de nourriture.
Mais alors, que faire ? La réponse classique serait les produits phytosanitaires. Cependant, elle présente ses limites. Premièrement, celles de provoquer "des résistances" de la plante à ces mêmes produits, à force d'y être confrontée. Enfin, dans le cadre d'une culture de tournesols, il est impossible de les employer : les deux espèces partagent des compositions similaires, les rendant vulnérables au même produit.
Un coléoptère en sauveurMarien Lesourd préconise alors "la solution mécanique de l'arrachage",qui peut être chronophage et éprouvant. Mais l'INRAE, l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement pourrait offrir une autre solution. Un coléoptère, Ophrealla communa de son nom scientifique, a commencé à être utilisé en Occitanie voisine pour lutter contre l'ambroisie. L'insecte"se nourrit exclusivement des feuilles de l'ambroisie, sans poser de problèmes sur les autres espèces".
Cette "lutte biologique", se combine à la formation par Fredon de référents communaux pour gérer la présence de l'ambroisie. S'ajoute la mise en place d'une application pour signaler sa présence. "On pourrait se débarrasser en trois ans de l'ambroisie",assure Marien Lesourd, déjà convaincu par l'efficacité de ces leviers.
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/son-pollen-rend-malade-des-le-mois-d-aout-comment-l-ambroisie-plante-tres-allergisante-et-invasive-menace-la-sante-et-l-agriculture-3204173.html
Budget en baisse, guichet fermé l'été, nombre de dossiers examinés en forte baisse, critères d'éligilibilité revus... MaPrimeRenov' n'est plus au top de sa forme, en 2025. Mais les aides sont toujours là pour les ménages les plus modestes souhaitant changer leur système de chauffage. France 3 vous explique tout.
Fermé en juin, pour un trop grand nombre de dossiers reçus, le guichet dédié à MaPrimeRenov' est censé rouvrir le 30 septembre, et n'étudiera que 13 000 dossiers jusqu'à la fin de l'année. En priorité, ceux des ménages les plus modestes, habitant dans des passoires thermiques. Autant dire qu'il faudra être patient, chanceux ou les deux pour bénéficier de ces aides.
Reste que, officiellement, de nombreuses aides sont toujours disponibles si vous souhaitez changer votre mode de chauffage.
Car MaPrimeRenov' propose toujours des primes importantes pour un changement de système de chauffage, notamment pour le passage à des pompes à chaleur. Comptez 6 000 euros pour une pompe à chaleur géothermique ou solaire, et 3 000 euros pour une pompe à chaleur air/eau. Les chaudières à biomasse sont aussi concernées par des aides. Mais attention, le dispositif MaPrimeRenov' ne concerne que les propriétaires.
La prime "Coup de pouce" est également disponible, dans l'unique cas où votre futur système de chauffage écolo viendrait remplacer une chaudière thermique au gaz, au fioul ou au charbon.
Une dernière aide, la prime "Certificat d'économie d'énergie", ou CEE, peut apporter quelques centaines d'euros. Le montant accordé pourra augmenter selon l'usage (pour le chauffage seul ou pour le chauffage et l'eau) et l'efficacité énergétique saisonnière de la future pompe à chaleur. Cette aide n'est cependant pas cumulable avec la prime Coup de pouce. Elle est en revanche soumise à concurrence, chaque fournisseur d'énergie pouvant proposer son propre montant de prime CEE.
Le détail des aides
Voici concrètement les aides dont vous pouvez bénéficier pour une pompe à chaleur :
Pour du chauffage biomasse/au bois :
Et pour d'autres dispositifs :
Attention, l'attribution de MaPrimeRenov' est soumise à la réalisation des travaux par un professionnel RGE, et à un coût d'intervention à ne pas dépasser. L'installation d'une pompe à chaleur air/eau ne doit pas dépasser les 12 000 euros pour être éligible à l'aide MaPrimeRenov' de 3 000 euros. Les détails pour chaque aide sont disponibles sur le site dédié.
Reste à savoir si ces aides pourront être versées à une large partie de la population en 2026. L'avenir de MaPrimeRenov' réside dans la loi de finances pour l'année prochaine, après une baisse de presque 1 milliard d'euros de son budget en 2025. En France, les logements sont responsables de plus de 11% des émissions directes de gaz à effet de serre.
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/centre-val-de-loire/maprimerenov-la-prime-coup-de-pouce-de-quelles-aides-pouvez-vous-beneficier-pour-changer-votre-systeme-de-chauffage-3204956.html
Comme dis la Montagne , c'est la sècheresse , alors autant bien s'équiper pour quand l'eau va revenir, mercredi ?? voici un exemple , bien sur il est possible de mettre des 1000 litres de réserve et avec ses passe paroi , comme une cascade le 1 se rempli et déborde dans le 1 bis , il suffit juste de les mettre " en escalier " le tuyau de 50 existe chez les vendeurs de piscine ou ici du tuyau souple peint. Si a chaque descente on pose un récupérateur ou des récupérateurs au quatre coin de la maison ceci peut faire une belle quantité pour arroser arbustes et le jardin