Des chauves-souris âgées d'à peine deux mois se sont perdues dans les salons de la préfecture de Niort, ce jeudi 21 août. Alertée le lendemain, l'association Deux-Sèvres Nature Environnement est venue sauver les mammifères bloqués dans les locaux.
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heureusement que c'est découvert à tant
bon week-end. http://madelei nedenormandie. centerblog.net
Par madeleinedenormand, le 05.09.2025
je voudrais le num"ro de potable de bayrou
Par Anonyme, le 26.08.2025
qu'entend t'on exactement "par logements sociaux " (par exemple :pavillons groupés en zone h l m ?ou quel autr
Par Anonyme, le 30.06.2025
on en demande d'autres dans le lot ?
Par Anonyme, le 08.06.2025
et la correze ?
Par Anonyme, le 08.06.2025
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Date de création : 27.10.2009
Dernière mise à jour :
18.09.2025
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Des chauves-souris âgées d'à peine deux mois se sont perdues dans les salons de la préfecture de Niort, ce jeudi 21 août. Alertée le lendemain, l'association Deux-Sèvres Nature Environnement est venue sauver les mammifères bloqués dans les locaux.
Des visiteurs peu habituels se sont introduits au cœur de la préfecture de Niort la semaine dernière. Plus d’une centaine de chauves-souris se sont cachées dans les salons de l'institution. “Une fenêtre est restée ouverte pendant la nuit, sûrement de mercredi à jeudi. Une première a dû entrer et par ses cris, elle a dû attirer les autres”, explique Emilien Brabant, chargé des études sur les mammifères à Deux-Sèvres Nature Environnement.
L’organisme a été appelé le vendredi 23 août aux alentours de 12 heures, lorsque les services de la préfecture remarquent qu’une trentaine de pipistrelles sont coincées dans un plafonnier en verre. “Sur place j’ai cherché celles cachées dans les interstices. Elles étaient derrière le rideau et un tapis mural en rang d’oignon, explique le sauveteur de chauve-souris. J’ai pu récupérer celles atteignables.”
La préfecture ne sait pas dater la présence des bêtes dans la salle de réception. Selon le salarié de l'association : “Elles n’étaient pas mal en point donc il se pourrait qu’elles ne soient restées bloquées qu'environ 48 heures.”
Sauvetage de plus d'une centaine de pipistrellesLe vendredi soir, trois membres de Deux-Sèvres Nature Environnement viennent sauver les mammifères âgés d’à peine deux mois. “On avait donné la consigne d’ouvrir l’ensemble des fenêtres pour qu’elles puissent retrouver leur chemin elle-même”, ajoute Emilien Brabant.
Un sauvetage réussi, “c’est dans mes tops 3 des SOS les plus impressionnants”, confie en souriant Emilien Brabant. “Si vous avez une chauve-souris coincée chez vous, laissez-la tranquille. Si elle est au sol, pour la sauver, vous pouvez la mettre dans un tissu puis une boîte à chaussure et la placer dans une pièce au calme comme pour un oiseau”, conseille-t-il.
Dans les Deux-Sèvres, un lieu atypique héberge une immense colonie de chauves-souris depuis une dizaine d’années. Ce jeudi soir, les plus curieux sont invités à venir sur le site pour en apprendre plus sur ce mammifère inoffensif, mais qui a encore mauvaise presse.
Reportage de Paul Grelier et Héloïse Pongnan
Si vous souhaitez en savoir plus sur le seul mammifère volant, la nuit internationale de la chauve-souris ouvre les portes de lieux habituellement interdits au public. Promis, elles ne s'accrochent pas à vos cheveux, “c’est une légende !” assure Emilien Brabant.
COMMENTAIRE ENSEMBLE19 PREUVE DE L'importance des chauves souris sur le secteur de Noailles !!
Une vingtaine d’agriculteurs de la FDSEA des Ardennes a mené une action dans une grande surface de Rethel jeudi 28 août. Ils ont retiré des rayons les produits alimentaires et insecticides importés, susceptibles de contenir de l’acétamipride, afin d'informer les consommateurs.
extrait article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/grand-est/ardennes/les-consommateurs-mangent-de-l-acetamipride-sans-le-savoir-nutella-miel-riz-ces-agriculteurs-s-attaquent-aux-produits-importes-dans-les-supermarches-3207791.html
Avec le réchauffement climatique, comme pour les vendanges et les moissons, la récolte de l'ensilage du maïs, aliment destiné aux bétails, a démarré avec trois semaines d'avance. C'est une course contre-la-montre lancée pour le ramasser au bon moment et le stocker.
Période cruciale pour les éleveurs. Le mois d'août n'est pas encore terminé et l'ensilage du maïs débute déjà. Ces épis appétissants combleront la fringale des vaches dans les mois à venir. Il s'agit de la ration de base l'hiver pour les faire ruminer.
Dans une parcelle de l'Oise, à Breuil-le-Vert, Simon Vandaele dévore les sept hectares et demi sur une terre très sèche. "C'est vraiment exceptionnel. On n'a jamais démarré aussi tôt, le 25 août. On voit le réchauffement climatique."
L'ensilage a commencé "il y a une petite semaine" indique Thierry Vincant, entrepreneur en travaux agricoles. "Avec la sécheresse, les maïs se sont desséchés sur pied et tous les clients appellent pour récolter leur maïs. Si ce temps-là continue avec des grosses canicules, on va avoir de gros soucis à satisfaire tout le monde. Normalement, on ensile sous trois, quatre semaines." Or, le temps presse pour les prendre au bon moment. "Si c'est trop vert, ça ne va pas. Si c'est trop sec, ça ne va pas."
Une nourriture d'hiver qui sert désormais à l'annéeIl décrit une année 2025 "très compliquée" avec des ramassages qui s'enchaînent et se télescopent. "On a commencé à couper du blé début juillet. Ça a démarré sur les chapeaux de roues" explique-t-il, en évoquant la moisson qui s'est terminée tout juste avant le début des ensilages.
Tiges, feuilles, épis, tout est broyé ensemble. Cette récolte représente une assurance-vie pour les éleveurs dont les pâtures virent souvent au paillasson, faute de pluie, parfois dès le mois de juin. Même en Picardie, l'herbe n'est plus garantie, grillée dès les premiers pics de chaleur, à peine l'été commencé. Pour Michel Cousyn, éleveur, il s'agit de "la nourriture de tout l'hiver. Et puis maintenant, pratiquement de toute l'année parce qu'on a plein de sécheresses."Et, "la vache ne produit bien que si elle est alimentée régulièrement."
Contrairement aux années précédentes, l'éleveur est confiant pour la prochaine période de froid. La récolte a été meilleure et il lui reste du maïs d'ensilage de l'année précédente ainsi que de la pulpe de betterave. "On a la chance, dans le nord de la France, d'avoir plusieurs possibilités pour nourrir les vaches. Et quand on a l'ensemble qui est de bonne qualité, ça ne peut être que bien à l'arrivée."
À peine récolté, le produit est stocké et tassé. La journée est si intense que les bêtes sont restées à l'étable. Elles sont aux premières loges des allées et venues des tracteurs remplissant les stocks. Elles sont encore plus ravies quand leur propriétaire présente le succulent cocktail.
"Aïe, elle m'a mordu", dit-il d'un ton amusé. "On voit que c'est du frais [...] On a eu des périodes sèches il y a quelques années où il y avait très peu de grains. C'était du maïs desséché qui n'avait pratiquement plus aucune valeur. Et on était obligé d'apporter beaucoup d'aliments de substitution qui nous coûtaient cher."
Les rations de la centaine de bêtes, dont 50 vaches laitières, de l'exploitation de Michel sont donc prêtes à être dévorées et assurer les provisions pour les mois à venir face aux aléas climatiques.
Avec Dominique Patinec / FTV
En Corrèze, la récolte du raisin a démarré pour les vignerons du domaine de Branceilles. Une récolte de plus en plus tôt dans l'année, notamment en raison du changement climatique.
Des vendanges de plus en plus précoces. Sur le domaine de Branceilles en Corrèze, la récolte des raisins destinés à la production du blanc et du rosé a commencé, ce mercredi 20 août.
Un démarrage si précoce, c'est du jamais-vu pour Philippe Leymat : "Le 20 août, c'est un peu exceptionnel. Sur les blancs, on est à quasiment une semaine d'avance. Et on sait que sur les rouges, d'ores et déjà, on a quasiment quinze jours d'avance. Tout ça est lié à ce dérèglement climatique qui fait qu'on a des faux printemps et qui fait que ça démarre très tôt."
Pour définir la date des vendanges, chaque exploitant de parcelles fait ses prélèvements. La météo chaude et ensoleillée de l'été annonce une campagne 2025 prometteuse. "On avait besoin d'une très belle récolte en 2025 et les anciens disent toujours que les années en "5" sont des très bonnes années,explique l'œnologue Baptiste Thomachot. Donc, croisons les doigts, 2025 sera un très bon millésime !"
Plus un raisin est exposé au soleil, plus il augmente sa teneur en sucre. Alors, premier jour, premier pressage et déjà des résultats prometteurs : "Il est aromatique, il est bien équilibré. Il y a pas mal de petites graines avec des petits grains, ce qui fait des raisins, des jus assez concentrés en arômes, en sucre et en acides. Donc c'est un bon potentiel qualitatif."
Après une année 2024 compliquée pour le secteur viticole, notamment après les périodes de gel, cette récolte, même précoce, est une bonne nouvelle pour les professionnels.
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/correze/brive/video-vins-de-branceilles-les-vendanges-ont-deja-commence-c-est-un-peu-exceptionnel-3204824.html
"Les arbres souffrent" : de nombreuses feuilles mortes tombées par terre dès l’été, faut-il s’inquiéter ?
Par Michaël Nicolas
Publié le 19 août 2025 à 16h53
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Un solide taureau d'environ 800 kg s'est offert une dernière balade, ce mardi 18 août, dans le secteur de Saint-Viance, en Corrèze, après s'être échappé de l'abattoir T'Rhéa, Viandes de Corrèze, en toute fin de matinée.
Son périple, même court, a rapidement suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, la zone d'activités de la Nau, où l'entreprise est installée, n'étant située qu'à quelques dizaines de mètres de la D 901, une portion de 2x2 voies très fréquentée.
Heureusement, après avoir divagué sur environ 500 mètres, ledit taureau s'est contenté de s'allonger à l'ombre des grands cyprès, à côté d'un point d'eau, sur le terrain d'un particulier, habitant au lieu-dit La Grange, à quelques mètres des terrains de l'entreprise horticole La Rose corrézienne.
Au cours de sa petite promenade, l'animal n'a fait ni blessés, ni dégâts. "La situation a pu être rapidement maîtrisée", indiquait la gendarmerie, en début d'après-midi, après avoir fait le tour des quelques maisons du hameau pour prévenir leurs occupants.
"Quand mes filles sont venues me dire qu'il y avait un taureau qui se baladait, on a eu une petite frayeur, mais en définitive, il est très calme", expliquait ainsi une habitante.
ARTICLE LA MONTAGNE https://www.lamontagne.fr/saint-viance-19240/faits-divers/on-a-eu-une-petite-frayeur-un-taureau-de-800-kg-s-echappe-d-un-abattoir-en-correze_14736167/
Ce méthaniseur de Dordogne produit 5% du gaz vert du département -
icihttps://share.google/8oOCeElwic03PEv4E
PHOTO ILLUSTRATION
Loi Duplomb et pesticides. "Si on remet l'acétamipride sur le marché, demain, on remet quoi ?" https://share.google/Q33XLGbSgwAC5Vszf
Christian Pezzini milite pour la création d’un label Noisette sans acétamipride. Il a aussi lancé à son tour une pétition sur le site de l’Assemblée nationale, pour interdire l’importation de denrées traitées
Dix ans après avoir quitté la direction de la coopérative Unicoque, leader de la production de noisettes françaises implanté à Cancon, en Lot-et-Garonne, son ex-directeur général Christian Pezzini porte toujours une attention particulière à la filière. Les suites du vote de la loi Duplomb le font sortir de sa réserve.
La filière noisette a été en première ligne pour obtenir la réintroduction, à titre dérogatoire, de l’acétamipride. Au final, des voix, dont la vôtre, s’élèvent pour faire entendre leur désapprobation. Pourquoi ?
Depuis que la coopérative a engagé une démarche pour demander et obtenir une dérogation à l’acétamipride, qu’utilisent d’autres pays, je n’avais rien à dire. Je soutenais cette initiative. Ce qui a changé, c’est la réaction épidermique et médiatique de la société civile. On est passé d’une situation légitime à une situation où la coopérative a tout à perdre ou a déjà tout perdu de l’image du produit rustique et sain qui était celle de la noisette française. C’est une victoire à la Pyrrhus. Dans cette situation, la stratégie doit s’adapter.
Une réaction de défiance des consommateurs peut selon vous nuire aux producteurs français ?
J’en suis convaincu. Le consommateur final n’a pas vraiment de pouvoir mais la grande distribution, les détaillants, grossistes, acheteurs de noisettes décortiquées pour leur production, eux, en ont. Il...
ARTICLE SUD OUEST https://www.sudouest.fr/sante/loi-duplomb-soit-les-autres-pays-ont-raison-et-on-fait-comme-eux-soit-ils-ont-tort-et-ils-font-comme-nous-25341925.php
Mardi 22 juillet dans la Marne, un retraité est mort dans son jardin, attaqué par des frelons asiatiques en tondant sa pelouse. Un drame qui relance une question cruciale : comment se protéger de ce nuisible de plus en plus présent dans le Grand Est ? La réponse auprès d’un professionnel du secteur.
Il ne mesure que deux centimètres en moyenne, moins que son cousin européen, et son venin n’est pas plus toxique. Mais la dangerosité du frelon asiatique, au dard de 6 millimètres, tient à son comportement : les attaques en groupe et sans sommation. “Il est bien plus agressif que le frelon européen, surtout quand il se sent dérangé”, avertit Yannick Steck, gérant de la société “Marne Guêpes Frelons” et destructeur de nids depuis six ans.
Dans le cas du retraité de Fismes, mort le 22 juillet après avoir été attaqué par un essaim alors qu’il tondait sa pelouse, les piqûres multiples ont été fatales. Une vingtaine peuvent provoquer un choc anaphylactique en quelques minutes, et une seule suffire si la personne est allergique. En France, on dénombre chaque année entre 50 et 70 décès dus à ce nuisible apparu dans l’hexagone en 2004.
Le vrai danger, c’est qu’il “peut se cacher partout”, décrit Yannick Steck : “Dans les sous-toits, les cabanons, les arbres, les haies, les camions inutilisés, les tracteurs, les spas, sous terre…, énumère-t-il. Même dans des poubelles ou des moteurs de voiture à l’arrêt. On a même vu des gens vivre des mois avec un nid sans le savoir, jusqu’au jour où ils entendent un bruit, montent au grenier, et là c’est le drame.”
On a même vu des gens vivre des mois avec un nid sans le savoir, jusqu’au jour où ils entendent un bruit, montent au grenier, et là c’est le drame.
Yannick SteckDésinsectiseur
D’où l’importance d’une vigilance accrue en jardinant ou en se promenant, ainsi que pour les professionnels des espaces verts, plus exposés. Par exemple, avant de passer la débroussailleuse, Yannick Steck conseille de taper légèrement sur les haies ou le sol avec un bâton tout en continuant de marcher. “Si des insectes sortent, éloignez-vous tout de suite et appelez un professionnel. Ces réflexes simples peuvent éviter des drames”, indique-t-il.
Si vous constatez un nid, n’agissez pas seul et contactez un professionnel agréé, dont la liste est disponible auprès des préfectures. “Beaucoup de gens veulent bien faire, brûler ou frapper le nid… Mais s’ils ne tuent pas la reine, ils dispersent les fondatrices, qui vont créer d'autres nids ailleurs. On empire la situation”, explique Yannick Steck.
Des gestes simplesUn nid peut contenir 5 000 à 6 000 individus. Le seul moyen efficace de le détruire est donc un insecticide, laissé en place 72 heures. “Et surtout, ne pas l’enlever tout de suite. Il faut laisser les frelons restants revenir et s’empoisonner à leur tour”,ajoute le désinsectiseur.
En prévention, plusieurs gestes à la portée de tous peuvent freiner l’expansion de cet insecte. Comme le fait d’accrocher des nichoirs à mésanges, prédateurs naturels des frelons ou encore fabriquer des pièges sélectifs avec de simples bouteilles en plastique : “Vous mettez deux centimètres de vin blanc, deux centimètres de sirop de fruits rouge et deux de bière”, décrit Yannick Steck.
Ils peuvent être installés dès le mois de janvier et même renouvelés durant l’hiver. Yannick Steck recommande également d’installer des moustiquaires aux fenêtres et de surveiller tout comportement d'insectes revenant toujours au même point fixe, signe potentiel de nidification.
Pour les personnes allergiques connues, ou simplement prudentes, un kit d’urgence est un autre conseil de prudence. Yannick Steck conseille de consulter un médecin pour obtenir un traitement préventif : “Antihistaminiques, corticoïdes, voire auto-injecteur d’adrénaline. J’ai eu le cas d’un médecin piqué qui a pu se sauver parce qu’il avait ce qu’il fallait”,raconte, fort de son expérience, le professionnel.
S’il ne s’agit pas de céder à la psychose, la vigilance s’impose face à un insecte désormais bien installé dans nos campagnes, comme tient à le souligner Yannick Steck : “Il fait partie de notre environnement. On ne pourra pas l’éradiquer. Mais on peut apprendre à vivre avec, à s’en protéger, et à limiter son expansion. C’est une question de prévention, pas de panique”.
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/grand-est/marne/attaques-de-frelons-asiatiques-pour-se-proteger-les-bons-reflexes-d-un-professionnel-3193596.html