SECURITE
"On les fait vivre 15 à 20 ans de plus" : plutôt qu'ils soient réformés, une entreprise réhabilite des camions de pompiers
À Aulnay-de-Saintonge, en Charente-Maritime, les camions de pompiers sont entièrement réhabilités et ressortent comme neufs. •© Pascal Simon - France Télévisions
Publié le11/09/2025 à 12h08
Installée en Charente-Maritime depuis 2024, l'entreprise Service Echelle France est le seul réparateur de camions de pompiers de tout l'ouest de la France. Plus encore, elle propose de donner une seconde jeunesse aux vieux véhicules qui ressortent avec "rien à envier aux véhicules neufs".
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Notre politique de confidentialité Depuis 32 ans, Jean-Paul Gangloff travaille dans le reconditionnement de camions de pompiers. Un des seuls en France à réaliser cette activité. Jusqu'à mars 2024 et l'installation d'un garage de son entreprise Service Echelle France à Aulnay-de-Saintonge, en Charente-Maritime, l'ouest de la France était dépourvu de réparateur de véhicules des sapeurs-pompiers.
"En ce qui nous concerne, nous travaillons avec une grande partie des Sdis de l'Ouest de la France et nous avons aussi les clients du Centre et un peu de partout en France. Nous avons des véhicules qui viennent du Nord, qui viennent du 78… Actuellement, il y a beaucoup de clients intéressés pour redonner une seconde vie à leurs véhicules", explique le fondateur et gérant de l'entreprise. Avec un coût représentant un tiers du prix d'un véhicule neuf, de plus en plus de Services Départementaux d'Incendie et de Secours (Sdis) sont intéressés par la réhabilitation totale de leurs véhicules. Mais le travail pour chaque camion est conséquent.
Un tiers du coût d'un véhicule neuf pour une réhabilitation totale
"Lorsque je voyais certains véhicules qui arrivent à 20 ans se faire réformer, je trouvais que c'était du gâchis. Je voulais absolument leur donner une seconde jeunesse et leur permettre de vivre 15 à 20 ans de plus", raconte Jean-Paul Gangloff. C'est désormais ce qu'il fait depuis les années 1990. Une manière économique de donner une seconde vie et de renouveler leur parc de véhicule à moindre coût. "Le reconditionnement leur permet d'avoir des véhicules 100 % opérationnels à moindre coût, insiste le fondateur de Service Echelle France. Cette économie leur permet d'acheter à côté des véhicules neufs."
Chaque véhicule qui ressort des ateliers de Service Echelle France est unique, ils sont réhabilité sur mesure à la demande des Sdis. •© Pascal Simon - France Télévisions
Mais le travail est adapté aux demandes précises des Sdis. "Chaque camion est spécifique, ce sont des pièces uniques. Le client nous donne un cahier des charges très précis. On travaille sur l'ergonomie, sur les nouvelles technologies et tout ce qu'on peut apporter à ces véhicules, on le fait. Ces véhicules, lorsqu'ils repartent, ils n'ont rien à envier aux véhicules neufs", vante Jean-Paul Gangloff.
L'entreprise installe également les dernières technologies disponibles sur le marché comme ici des caméras à 360°. •© Pascal Simon - France Télévisions
Olivier Balva, est chef d'atelier, il travaille notamment sur la réhabilitation totale d'un camion. Il y ajoute des caméras 360°. "Le client nous a appelé pour un reconditionnement complet du camion. On lui a présenté ce qu'il était possible de faire et on lui a présenté une modélisation 3D et il a accepté, explique-t-il. Donc là, on reprend tout de A à Z, du châssis jusqu'à la cabine." En tout, c'est un travail de 3 à 4 mois.
Un véritable succès dans l'ouest de la France
Mais l'entreprise assure également la maintenance, avec des véhicules qui doivent se faire inspecter régulièrement pour être aux normes. Tous les 10 ans, les échelles sur les camions de pompiers doivent être passées au crible. "Il faut être très précis. Il faut compter deux ou trois mois pour inspecter tout sans erreurs. Il faut que tout soit parfait", soulève Yannis Rudelin, mécanicien spécialisé en hydraulique.
Nous allons déposer un permis de construire pour avoir un nouveau bâtiment de 3 000 m² qui sera dédié uniquement au reconditionnement.
Jean-Paul Gangloff fondateur et gérant de Service Echelle France
En France, ils ne sont pas beaucoup à proposer ces services et Service Echelle France est seul dans l'ouest de la France. Les économies réalisées pour une réhabilitation totale d'un véhicule séduisent les Sdis. "Je viens depuis le Cher pour une fuite hydraulique sur l'échelle de 32 m, indique Jérémy Lacour, responsable des moyens aériens du Sdis 18. Le problème, c'est qu'au moment du contrôle, on s'est rendu compte qu'un vérin était en train de fuir et ça met notre engin indisponible, car ça devient dangereux. On travaille avec l'entreprise ici depuis un moment et c'est plus pratique de venir ici, donc on a voulu continuer avec eux."
Service Echelle France est aussi la seule entreprise de l'ouest de la France à proposer l'entretien des camions qui doit se faire régulièrement, comme ici l'échelle télescopique. •© Pascal Simon - France Télévisions
Pour l'entreprise, les affaires fonctionnent très bien et Jean-Paul Gangloff s'en réjouit. Pour sa première année complète dans l'ouest de la France, l'entreprise va réaliser un chiffre d'affaires d'environ 38 millions d'euros. "Aujourd'hui, il y a 14 salariés ici sur 2 700 m². Nous allons déposer un permis de construire pour avoir un nouveau bâtiment de 3 000 m² qui sera dédié uniquement au reconditionnement", annonce le gérant de Service Echelle France. Et pour la suite, l'entreprise devrait avoir de beaux jours devant elle. Pour le début de l'année 2026, "le carnet de commandes est déjà plein".
article https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/la-rochelle/on-les-fait-vivre-15-a-20-ans-de-plus-plutot-qu-ils-soient-reformes-une-entreprise-rehabilite-des-camions-de-pompiers-3214784.html
Pour le nouveau patron des pompiers de Creuse : "Sans son équipe, un chef n'est rien " Après plusieurs expériences dans le Puy-de-dôme, l’Aveyron, le Calvados ou plus récemment l’Indre, Alain Guesdon a été nommé à la tête du SDIS 23 ce 1er septembre. Il succède à la colonelle Stéphanie Duchet. Rencontre avec cet homme, pompier volontaire depuis l’âge de 16 ans. Article réservé aux abonnés
Par Pacôme Bienvenu
Publié le 06 septembre 2025 à 08h55 •

Alain Guesdon, nouveau patron du SDIS 23. © LAURANT AIMERIC
Il vient tout juste de récupérer les clés de son nouveau bureau. À l’intérieur de celui-ci, quelques affaires de son prédécesseur traînent encore ici et là dans la pièce. Les valises à peine posées en Creuse, Alain Guesdon, nouveau colonel du SDIS 23, a sans doute préféré passer les premières heures de sa prise de poste à rencontrer ses effectifs plutôt que de refaire la décoration de son bureau. « Il est joli, je l’accorde. Il est un peu en désordre, je vais essayer de faire ce qu’il faut », préfère-t-il plaisanter.
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extrait article https://www.lamontagne.fr/gueret-23000/actualites/pour-le-nouveau-patron-des-pompiers-de-creuse-sans-son-equipe-un-chef-n-est-rien_14744135/
Sur ses nouvelles terres, le colonel Alain Guesdon semble loin d’être dépaysé. « J’étais chef adjoint au SDIS de l’Indre sur les deux dernières années », fait-il savoir. Ingénieur de formation, l’homme originaire du Loiret a réalisé une bonne partie de ses études à Châteauroux et Argenton-sur-Creuse. Avant de mettre un pied dans l’Éducation nationale comme professeur technologique au sein d’un collège. « Deux de mes amis de formation venaient de Creuse. Alors pour être honnête, le territoire ne m’est pas inconnu, j’en entendais parler?! », glisse-t-il.
S’inscrire dans la durée en Creuse
À 56 ans, rejoindre le département creusois était alors bel et bien son choix. « J’ai postulé et j’ai été pris. J’aime la nature, faire des sorties sur mon temps libre. Je vais être servi ici », sait-il, en confiant son envie toute particulière de s’inscrire ici dans la durée.
Transport scolaire : 182 conducteurs testés positifs à l'alcool ou aux stupéfiants depuis début 2025
Ce recensement intervient sept mois après le décès d'une lycéenne de 15 ans dans un accident de car scolaire dont le chauffeur avait consommé du cannabis,
Un bus scolaire aux Sables-d'Olonne (Vendée), le 12 avril 2023. (MAGALI COHEN / HANS LUCAS / AFP)
Des chiffres inquiétants. Sur près de 30 000 cars de transport scolaire contrôlés entre janvier et fin août, 119 conducteurs ont été testés positifs à un stupéfiant et 63, à l'alcool, a annoncé le ministre des Transports, Philippe Tabarot, en visite dans l'Eure-et-Loir jeudi 4 septembre. Ce déplacement intervient sept mois après le décès d'une lycéenne de 15 ans(Nouvelle fenêtre) dans un accident de car scolaire dont le chauffeur avait consommé du cannabis, le 30 janvier à Châteaudun.
Le ministère des Transports avait lancé le 30 avril le plan Joana – du prénom de la victime – pour le renforcement de la sécurité routière du transport scolaire. Chaque jour, 1,9 million d'élèves prennent un transport scolaire, rappelle le ministère. "C'est un des modes de transport les plus sûrs", a souligné Philippe Tabarot, puisqu'il représente 5% des déplacements et seulement 0,3% des accidents de la route.
Entre le 1er janvier et le 31 août, 103 accidents impliquant des cars scolaires ont eu lieu en France, dont 50 ayant fait des victimes. Il y avait eu 138 accidents d'autocars en 2024, le plus haut niveau depuis dix ans.
ARTICLE FR3 https://www.franceinfo.fr/economie/transports/transport-scolaire-182-conducteurs-positifs-a-l-alcool-ou-aux-stupefiants-depuis-debut-2025_7472656.html#xtor=RSS-3-%5Bgeneral%5D
"C'est dur, mais ça en vaut la peine !" Ces jeunes candidats sapeurs-pompiers à rude épreuve
Une soixantaine de collégiens ont participé à cette journée de recrutement •© Héloïse Pongnan - France Télévisions
Publié le30/08/2025 à 18h12 Mis à jour le30/08/2025 à 18h30
Depuis plusieurs années, à la fin de l'été, les sapeurs-pompiers de la Vienne organisent une journée de sélection pour recruter des jeunes qui pourront devenir volontaires après une formation. Les épreuves avaient lieu ce 30 août au centre de secours de Valdivienne.
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Notre politique de confidentialité Ils étaient une soixantaine de candidats à participer à cette sixième édition de recrutement des jeunes sapeurs-pompiers de la Vienne ce samedi. Emma, Jules, Aurélien et les autres sont collégiens, ils ont entre treize et quinze ans et aspirent à devenir soldats du feu. Mais avant cela, il leur faut passer de nombreuses épreuves.
C'est une journée qui ressemble à un concours. Il y a de la pression, c'est assez stressant.
Capitaine Adrien Gransagne Responsable départemental des Jeunes Sapeurs-Pompiers 86
De nombreuses épreuves sportives attendent ces jeunes •© Héloïse Pongnan - France Télévisions
Le capitaine Adrien Gransagne est commandant de compagnie et responsable départemental des Jeunes Sapeurs-Pompiers 86 : "C'est une journée qui ressemble à un concours avec des épreuves physiques, sportives, théoriques et orales, il y a de la pression, c'est assez stressant. Ce sont des épreuves qui existent dans nos indicateurs de condition physique ou des épreuves qu'on va retrouver dans nos concours de pompier professionnel. Ces tests qu'ils font au plus jeune âge avec un barème adapté, on les retrouve tout au long de la carrière de pompier."
Course, natation, tractions, tests théoriques et un oral : la journée est particulièrement chargée, mais la motivation de ces jeunes est, elle aussi, intense :
C'est dur, mais ça en vaut la peine. Je suis prêt à tout donner pour devenir sapeur-pompier volontaire. Dans ma famille, il y a beaucoup de personnes qui aident les gens et j'aimerais devenir comme eux.
La natation fait partie des épreuves de cette journée •© Héloïse Pongnan - France Télévisions
C'est le métier que je voudrais faire. Ça fait des années que je travaille pour ça, que je fais tout pour réussir, aussi bien les examens physiques que théoriques.
Et comme le souligne le capitaine Adrien Gransagne : "Ce sont des jeunes très motivés. Dans une société très individualisée où il y a de plus en plus de sédentarité chez les jeunes, ça fait du bien de rencontrer ces jeunes qui ont envie d'un engagement citoyen, d'apprendre à protéger les autres. C'est une fierté pour nous, mais aussi pour les parents. "
Des parents fiers, mais parfois plus fébriles que leurs enfants, à l'image de ces deux mères de famille : "On a mis toutes les chances de notre côté. Pendant tout l'été, mon fils a fait de la natation avec un coach personnel, on a fait aussi du renforcement musculaire et on croise les doigts."ou encore "Ce serait une belle réussite pour elle si elle était sélectionnée et sinon, c'est toujours un entraînement pour l'année prochaine."
Des épreuves théoriques tout aussi intenses •© Héloïse Pongnan - France Télévisions
Trois ans de formation
À l’issue de cette journée, 28 candidats deviendront jeunes sapeurs-pompiers de la Vienne et s'engageront pour une formation de trois ans, dispensée tous les samedis. Xavier Joly est pompier professionnel au centre de secours de Châtellerault et responsable pédagogique des Jeunes Sapeurs-Pompiers 86 : " La première chose qu'ils apprennent, c'est le travail en binôme, la cohésion, la collectivité qu'ils n'ont pas nécessairement connu au collège et bien sûr, ils viennent chercher le métier de pompier, aider les gens, pratiquer la citoyenneté."
95% deviennent ensuite pompiers volontaires
Preuve de l'engouement pour ce métier, une nouvelle section de jeunes sapeurs-pompiers vient de voir le jour à Montmorillon. Et selon le SDIS de la Vienne, environ 95% des jeunes sapeurs-pompiers deviennent ensuite pompiers volontaires.
Xavier Méric avec Alice Bouton
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/c-est-dur-mais-ca-en-vaut-la-peine-ces-jeunes-candidats-sapeurs-pompiers-a-rudes-epreuves-3208832.html
Deux maisons détruites par les flammes en Dordogne à cause d'un feu de tondeuse

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Une soixantaine de pompiers de Dordogne et Gironde ont été mobilisés sur l'incendie ce dimanche. •© MiKAEL ANISSET / MAXPPP
Publié le24/08/2025 à 18h26
Une soixantaine de pompiers venus de toute la Dordogne et de Gironde sont intervenus ce dimanche après-midi pour éteindre un incendie sur la commune du Pizou. Le feu avait été provoqué par une tondeuse et qui s'est propagé par la végétation vers trois habitations dont deux ont été détruites par les flammes. Vers 17h, le feu était fixé par les pompiers.
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Notre politique de confidentialité Il était 14h36 quand les sapeurs-Pompiers de Bergerac ont été appelés ainsi que ceux de La Roche-Chalais, Montpont, Mussidan, Périgueux, Ribérac, Saint Aulaye, Saint Martin et Saint Méard de Gruçon, Villefranche de Lonchat ainsi qu'un groupe de la Gironde. Ils sont intervenus sur un feu provoqué par une tondeuse.
Le feu s’est propagé à un pré et à la forêt dont près de 3 ha ont été brûlés et a détruit deux maisons d’habitation ainsi que deux granges.
D'après les pompiers de Dordogne, "une troisième habitation est impactée", sa toiture a été détruite et "une vingtaine de boules de paille dans le pré" ont également été réduites en cendres.
Selon le SDIS 24, vers 17h15, "le feu est fixé sur le secteur de la Dordogne" et "l’engagement massif de moyens a permis de limiter la propagation à un massif d’une superficie supérieure à 50 ha et, de protéger une habitation".
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/dordogne/bergerac/deux-maisons-detruites-par-les-flammes-en-dordogne-a-cause-d-un-feu-de-tondeuse-3205970.html
commentaire ensemble19 parfois une herbe trop haute , pas encore tondu de la saison et le foin se coince avec le pot d'échappement , il faut de la vigilance , surveiller l'état de la machine !
Publié le 24/08/2025 à 14:42 par ensemble19syndicat
"En cinq dix minutes, le feu était là" : les habitants reviennent sur l’incendie inédit qui a touché la commune de Cressensac-Sarrazac
Abonnés
image.jpg?v=4" alt="Le feu serait parti d’un câble d’une ligne de haute tension." /> Le feu serait parti d’un câble d’une ligne de haute tension. DDM - PF
Publié le 19/08/2025 à 16:19 par ensemble19syndicat
Tags : google photo
En raison de ceintures de sécurité défaillantes, de nombreuses Peugeot 308 rappelées à travers l'Europe

image/UZB8R2poRJRv6ookUsVXR85LOoo/600x400/regions/2022/06/22/62b33388baa89_maxnewsworldfive527661.jpg" alt="Chaîne de production dans les ateliers de fabrication des Peugeot 308, 3008 et 5008." width="640" height="426" />
Chaîne de production dans les ateliers de fabrication des Peugeot 308, 3008 et 5008. •© LIONEL VADAM / MAXPPP
Publié le18/08/2025 à 11h51
Ce rappel, émis au niveau européen le 15 août 2025, concerne les Peugeot 308 construites entre octobre 2015 et février 2019. Les ceintures arrière de ces véhicules "peuvent ne pas résister suffisamment à l'impact".
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Notre politique de confidentialité Un nouveau rappel concernant des véhicules du groupe Stellantis. Vendredi 15 août 2025, le site Rappelconso a publié une alerte qui concerne les Peugeot 308 produites entre le 12 octobre 2015 et le 1er février 2019, au niveau européen.
Le problème : "les ancrages de ceinture de sécurité du siège arrière peuvent ne pas résister suffisamment à l'impact de la force" indique la plateforme gouvernementale. "Cela pourrait limiter la capacité du rétracteur à retenir un passager en cas d’accident entraînant des blessures". Il est conseiller pour tous les conducteurs roulant dans ce type de voiture de "contacter le concessionnaire" rapidement afin de procéder à des vérifications.
Une partie des 308 construites à Sochaux
Voici les numéros d'homologation concernés par ce rappel : e2*2007/46*0405*04, e2*2007/46*0405*06 - *09, e2*2007/46*0405*11 - *13, e2*2007/46*0405*15 - *24, e2*2007/46*0405*26. Ils sont consultables sur la carte grise, case K.
Jusqu'en 2021, une partie des Peugeot 308 était produite à l'usine Stellantis de Sochaux (Doubs). Certains véhicules touchés par ce problème de ceintures pourraient donc avoir été assemblés en Franche-Comté.
L'année noire continue pour le groupe automobile. Il y a quelques semaines, le constructeur annonçait le rappel d'environ 600 000 véhicules Citroën, Peugeot, Fiat ou Opel pour des problèmes de moteur. En février 2025, le groupe avait déjà immobilisé 236 000 voitures en raison d'un problème d'airbags, et 68 000 autres pour des "risques d'incendies".
article fr3 https://france3-regions.franceinfo.fr/bourgogne-franche-comte/doubs/sochaux/en-raison-de-ceintures-de-securite-defaillantes-de-nombreuses-peugeot-308-rappelees-a-travers-l-europe-3203231.html
Ces enfants apprennent à nager dans la cour d'une école primaire : "c'est toujours une noyade d'évitée"

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Une piscine est installée dans la cour d'école de la commune des Trois-Moutiers (Vienne). •© Héloise Pongnan - France Télévisions
Publié le12/08/2025 à 11h25
L'association sportive des nageurs loudunais installe sa piscine l'été dans une petite commune du territoire différente chaque année. Après Ranton et Mouterre-Silly, la piscine tubulaire se trouve cet été aux Trois-Moutiers. Le bassin est implanté dans un lieu pour le moins original : la cour de l'école primaire.
ARTICLE https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/ces-enfants-apprennent-a-nager-dans-la-cour-d-une-ecole-primaire-c-est-toujours-une-noyade-d-eviter-3200781.html